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Les coutumes ou cultures de chez nous
Domaine Univers social et environnement Sous domaine Univers Social et Environnement
Section Technique Option Hôtellerie et Restauration
Discipline Religion Classe 6ème
Matériel didactique Craies et bible Auteur SCHOOLAP.COM
Objectif opérationnel A la fin de la leçon, l’élève sera capable d’expliquer quelques cultures de chez nous.
Réference Encarta, Wikepedia
Activité initiale

Rappel

Qu’avons-nous vu la fois passée ?

Rappel

La fois passée nous avons étudié les coutumes, la culture africaine et le christianisme : définitions.

Annonce du sujet

Qu’est-ce-que nous allons étudier aujourd’hui ?

Annonce du sujet

Aujourd’hui, nous allons étudier les coutumes ou cultures de chez nous.

Activité principale

Analyse

Chez nous en RDC peut-on faire le dénombrement des cultures ?

  • Pouvons-nous parler de deux exemples des coutumes de chez nous ?
  • Qu’en est-il de la circoncision chez les pendes ?
  • Quel point positif et/ou négatif à relever de cette pratique ?

De quel mariage de préférence pouvons-nous parler ?

Que pouvons-nous relever de positif et négatif dans cette manière de faire ?

Analyse

De manière exacte, il est difficile d’énumérer le nombre des cultures et coutumes que nous avons parce que l’on estime que la RDC a plus de 400 tribus et ethnies donc autant des coutumes et cultures.

  • Oui, nous pouvons parler de la circoncision chez les pendes et des mariages de préférences.
  • Chez les pendes, la circoncision se fait à l’âge plus ou moins adulte. Elle avait lieu dans la foret après que les jeunes gens soient initiés à la vie pratique. Il est question de les amener à affronter leur peur, à relever les défis imposés, bref le processus vise la maturité après quoi il y a la circoncision car juste après, le jeune est jugé apte à se marier et donc être utile à la société.
  • L’aspect positif  est que l’initiation à la vie ou la motivation visée est importante tandis que le négatif est qu’on utilise un matériel pour tous qui n’est peut-être pas assez stérilisé à cette époque.

Nous prenons le cas de « lévirat » qui est la forme du mariage d’une veuve avec l’un des frères de son défunt mari. Une pratique que l’on retrouve dans presque toutes les coutumes.

Dans ce cas de coutume, le positif est que la pensée derrière ou la motivation était bonne en ce sens que l’on voulait que la femme reste dans la famille pour ses enfants et soit soutenue par toute la famille. Le négatif est que de fois on le fait contre le bon gré de la femme, le petit frère qui la respectait comme grande sœur n’a plus ce respect, etc…

Synthèse

Que retenir des coutumes de chez-nous ?

Nous devons savoir qu’il y a plusieurs coutumes telles que le veuvage, le mariage des préférences cas de KINTUIDI chez le Yanzi, comment pleurer les morts, etc… mais dans ces cultures tout n’est pas noir. Il y a la possibilité de voir le bon coté.